Locations

Fermer Les Locations

Fermer Tarifs

Fermer Réservation

Fermer Plan d'accès et cartes

Fermer Nos autres Services

Fermer Nous contacter

Ce qui peut servir

Fermer La Thaïlande

Fermer Convertisseur thaï

Fermer Billet d'avion

Fermer Calendrier thaï

Fermer Le permis de travail

Fermer Le travail en Thaïlande

Fermer Les visas

Fermer Partenaires

Apprendre
Webmaster - Infos
Lettre d'information
Pour avoir des nouvelles de ce site, inscrivez-vous à notre Newsletter.
S'abonner
Se désabonner
10 Abonnés
Visites

   visiteurs

   visiteurs en ligne

Pub
news.gifNouvelles

La Thaïlande plébiscité... - par Tony le 31/03/2012 @ 17:09

  Les lecteurs du Routard.com plébiscitent la Thaïlande


Pour la première fois depuis sa création en 2001, routard.com, qui rassemble la plus grande communauté de voyageurs francophones, annonce les résultats de son classement des destinations les plus visitées sur son site l'année dernière.

Avec plus de 7 millions de pages vues, les internautes de routard.com ont plébiscité la Thaïlande, destination la plus consultée en 2011.
Les résultats de ce classement sont basés sur un panel très significatif de plus 301 millions de pages vues (25 millions par mois) et d’une moyenne de 1,9 millions de visiteurs uniques par mois en 2011.
Source : http://www.tourismethaifr.com/news/Actualites.tpl#3534


Récompense pour la Thaïlande, à l'ITB de Berlin 2012 - par Tony le 31/03/2012 @ 17:07

 Nouvelles récompenses pour la Thaïlande à l’ITB Berlin 2012


Pour la neuvième année, la Thaïlande a été sacrée "Destination la plus populaire" et le Tourism Authority of Thailand (TAT) a été honoré pour la quatrième fois en tant que "Meilleur Office du Tourisme en Asie" par GO ASIA, au salon international du tourisme de Berlin, l’ITB 2012, leader mondial en B2B pour l'industrie du voyage et du tourisme. Parmi les autres récompenses attribuées, Thai Airways International a reçu celle de " Meilleure Compagnie Aérienne Asiatique " et dans le secteur privé, le titre de "Meilleur Hôtel en Asie " a été décerné au Peninsula et au Siam@Siam Design Hotel & Spa de Bangkok ainsi qu’au Mandarin Oriental Dara Dhevi de Chiang Mai.Ces prix reflètent le résultat d'un sondage en ligne réalisé par GO ASIA, un réseau marketing dédié à la promotion de l’Asie en tant que destination touristique. Les membres du réseau GO ASIA incluent des voyagistes, des compagnies aériennes et des offices de tourisme.
Source : http://www.tourismethaifr.com/news/Actualites.tpl#3534


THAÏLANDE !!! 1 fois de plus NUMERO 1 des pays ou il fait bon vivre - par Tony le 27/03/2012 @ 19:35

 HSBC : Publication de l’enquête mondiale sur les expatriés, Expat Explorer 2011

 


Une fois de plus la Thaïlande est N°1 des pays ou il fait bon vivre...
 
 
HSBC a publié pour la 4e année consécutive « Expat Explorer » qui est la plus grande enquête mondiale consacrée aux expatriés. Expat Explorer analyse tous les aspects de la vie à l’étranger, des questions financières à la qualité de vie en passant par les avantages économiques de l’expatriation et l’éducation des enfants à l’étranger.
 
Expat Explorer porte sur plus de 3 000 expatriés dans plus de 100 pays, interrogés entre mai et juillet 2011
L’échantillon de l’enquête a été conçu de manière à recueillir l’opinion d’une population d’expatriés représentative au plan international.
On entend par « expatrié » toute personne âgée de plus de 18 ans, vivant actuellement dans un autre pays que son pays d’origine.
1. Les résultats 2011
 
Concernant l’aspect économique:
 
Les perturbations de l’économie mondiale ont ôté aux expatriés une grande partie de leur confiance dans la solidité de leurs économies : 1/3 des expatriés mondiaux évoquent une détérioration de leur économie locale depuis le début de 2010. Cependant, l’étude Expat Explorer 2011 révèle que le patrimoine des expatriés reste largement préservé des troubles économiques mondiaux, même dans les pays touchés par d’importants troubles l’année dernière.
« Beaucoup d’expatriés sont confrontés à une situation économique incertaine dans leur pays actuel. Pourtant, il semble, malgré les fortes perturbations, que les expatriés restent financièrement à l’abri de la tourmente. Même dans des pays dont l’économie est réputée faible, les expatriés continuent d’indiquer des gains supérieurs à ceux de leur pays d’origine. En résumé, la situation financière des expatriés reste solide, malgré leur environnement économique. »
Concernant la qualité de vie:
 
La Thaïlande s’est imposée cette année comme la meilleure destination pour les expatriés en termes de qualité de vie sur des critères tels que la simplicité de gestion des questions de santé, les possibilités de logement ou encore l’environnement de travail. L’année dernière, la Thaïlande se classait comme un lieu de retraite idéale et il est intéressant de constater le développement de ce pays en termes d’attrait économique.
 
Les expatriés estiment que Singapour offre le meilleur équilibre entre qualité de vie et carrière.
 
Le Canada, l’Australie et Singapour sont considérés comme la destination idéale par de nombreux expatriés. Sans surprise, les expatriés sont plus nombreux à trouver ces destinations idéales parce qu’elles offrent une qualité de vie (70 %, 71 % et 66 %) supérieure à la moyenne (53 %).
 
Concernant les meilleures perspectives de carrière:
 
Hong Kong, le Royaume-Uni et les États-Unis sont susceptibles d’être sélectionnés en tant que destination idéale parce qu’ils offrent de meilleures perspectives de carrière et financières (respectivement 73 %, 55 % et 54 %),
 
Les médias sociaux de plus en plus importants pour les expatriés:
 
L’utilisation de Facebook chez les expatriés est systématiquement élevée, même dans les régions où la pénétration globale est minime. En Afrique et en Asie, la pénétration de Facebook au sein de la population locale est extrêmement faible (respectivement 3 % et 4 %), mais ce réseau reste l’un des préférés des expatriés (respectivement 67 % et 65 %).
Cette tendance s’observe dans le monde entier et l’utilisation de Facebook est toujours beaucoup plus élevée pour les expatriés que pour la population locale, comme on peut le voir également en Europe (26 % d’utilisateurs locaux contre 73 % d’expatriés), en Amérique latine (21 % d’utilisateurs locaux contre 72 % d’expatriés) et au Moyen-Orient (8 % d’utilisateurs locaux contre 68 % d’expatriés), ce qui confirme l’importance de ces outils de communication pour les expatriés éloignés de leur pays d’origine.

A propos d’Expat Explorer
La Division HSBC Expat (anciennement Bank International) a confié l’étude Expat Explorer 2011 à GfK NOP. Au total, 3 385 expatriés issus de plus de 100 pays ont participé à cette quatrième édition de l’étude. Son objectif principal est de donner un aperçu de la vie des expatriés : expériences, problèmes, défis, avantages, etc.
 
Le questionnaire utilisé pour cette étude a été fourni par HSBC et l’enquête a été réalisée en ligne. Le lien vers l’enquête a été intégré au site web de HSBC Expat et a également été transmis par d’autres supports (médias, réseaux sociaux, etc.) afin d’atteindre le plus grand nombre possible d’expatriés. Les clients de HSBC Expat ont également été invités à participer à l’enquête.
 
Les participants avaient également la possibilité d’inviter d’autres expatriés à participer. L’enquête s’est déroulée du 11 mai au 12 juillet 2011 et la participation d’expatriés présents dans plus de 100 pays lui a donné un caractère exceptionnel et fait d’elle la plus vaste enquête de ce type.
 
À propos d’Expat Experience
Expat Experience est le deuxième des trois rapports publiés dans le cadre de la recherche Expat Explorer. Le rapport se penche sur les expériences des expatriés dans leur installation dans un nouveau pays de résidence, l’intégration dans la société locale ainsi que la qualité de vie par rapport à leur ancien lieu de résidence.
 
Un classement a été établi selon une série importante de sous-critères (29 au total) pour découvrir l’endroit que les expatriés ont choisi comme offrant la meilleure qualité de vie. Ces sous-critères sont regroupés en 3 principaux facteurs : l’installation, l’intégration et la qualité de vie. Chaque sous-critère est pondéré de la même manière pour parvenir à une note pour chaque facteur.
 
Les notes de chaque facteur sont ensuite pondérées pour arriver à une note générale Expat Experience et au classement général. La pondération appliquée est la suivante : 16,7 % pour l’installation, 16,7 % pour l’intégration et 66,7 % pour la qualité de vie.
 
Un des principaux critères était « qualité de vie » pour lequel les expatriés ont noté le logement, l’alimentation, les loisirs, la santé, l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle, le transport, les possibilités en matière de sport et de voyage. En outre, ils ont également évalué la relative facilité avec laquelle ils ont pu effectuer les tâches suivantes dans leur nouveau pays de résidence :
 
• inscrire les enfants à l’école ;
• organiser les services financiers, la santé et les services collectifs ;
• trouver un logement ;
• apprendre la langue locale ;
• s’habituer à l’alimentation, au climat, à la culture du travail, locaux ;
• se faire des amis ;
• voyager à l’intérieur du pays ;
• s’intégrer dans la nouvelle culture/rythme de vie (en général).
 
Enfin, ils ont été invités à évaluer leur niveau d’intégration dans la société locale en répondant aux affirmations suivantes sur leur nouveau pays de résidence :
 
• Je préfère manger les produits locaux plutôt que de manger tout le temps les plats de mon pays d’origine
• Je suis heureux de découvrir la culture locale
• J’essaie d’apprendre/d’utiliser la langue locale
• Je réussis à me faire des amis d’ici
• Je suis bien intégré à la communauté locale
• Je me sens bien accueilli au travail
• J’aime acheter des produits locaux dans les magasins/marchés locaux
 
Les statistiques Facebook sont sur : http://www.internetworldstats.com/facebook.htm
 
HSBC Holdings plc
HSBC Holdings plc, maison mère du Groupe HSBC, a son siège à Londres. Le Groupe répond aux besoins de ses clients dans le monde entier à travers quelques 7 500 implantations réparties dans 87 pays et territoires en Europe, en Asie-Pacifique, en Amérique du Nord, en Amérique Latine et au Moyen-Orient. Avec 2 418 milliards USD d’actifs au 30 juin 2010, HSBC est l’un des premiers groupes de services bancaires et financiers au monde. «Votre banque, partout dans le monde » est la signature publicitaire universelle due HSBC.
 
HSBC Expat
HSBC Expat est un nom commercial de HSBC Bank International Limited. HSBC Expat est un prestataire reconnu de services financiers offshore, dont le siège se trouve dans les Iles anglo-normandes, à Jersey. Elle est également représentée dans l’ile de Man, à Dubaï, à Hong Kong et en Afrique du Sud et possède un bureau affilié à Londres. Parce qu’elle fait partie de HSBC Holdings plc, HSBC Expat possède l’expérience nécessaire pour offrir à ses clients qui vivent et travaillent à l’étranger des solutions financières offshore sur mesure. Pour en savoir plus, visitez : www.expat.hsbc.com

by MICHEL on 9 JANVIER 2012   http://www.cristal-banque.com/hsbc-publication-de-lenquete-mondiale-sur-les-expatries-expat-explorer-2011/27692513 

Les inondations en Thaïlande. - par Tony le 09/11/2011 @ 01:29

Les inondations en Thaïlande.
 

Mardi 8 nov 2011 Pour des centaines de milliers de touristes étrangers qui ont prévu de se rendre en Thaïlande dans les prochains jours (ou semaines), bien difficile depuis Paris, Bruxelles ou Genève de se faire une idée exacte sur les inondations qui touchent actuellement le royaume, et particulièrement la capitale. Entre catastrophisme médiatique, fausses informations et réalité du terrain, la vérité est sûrement ailleurs…

Que se passe-t-il aujourd’hui ? Que se passera-t-il demain ? Dois-je confirmer mon voyage, le repousser, l'annuler ? A quoi dois-je m'attendre en atterrissant à Bangkok ? A quel danger suis-je exposé ? Risque-je de mettre ma santé en danger? Pourrais-je visiter le Palais royal, entrer et sortir de Bangkok ? Le quartier où j’ai réservé mon hôtel est-il inondé ? L’aéroport est-il protégé ? Tant de questions que tout voyageur sur le départ se pose, et pour lesquelles il ne trouve pas de réponses rassurantes. Et pourtant !

Mettez-vous votre santé ou votre vie en danger ?
 

Non. A moins de vous baigner dans les eaux putrides des klongs (canaux) et des rues inondées, vous ne risquez ni de mettre votre santé en danger, ni de vous noyer ! Les risques sanitaires existent, mais aucune épidémie n’a été signalée depuis trois mois que durent les inondations (plus de 2 millions de personnes affectées). Les risques concernent essentiellement les habitants qui n’ont pas voulu partir des quartiers inondés, les secouristes qui y travaillent et tous ceux qui, pour une raison ou une autre, pataugent dans l’eau. Quant aux crocodiles et aux serpents qui ont été signalés ci et là dans les quartiers inondés, vous avez moins de chance de tomber dessus que de vous faire piquer par un moustique ! Les médias étrangers, hypnotisés, ont traité un fait divers – huit crocodiles échappés d’une ferme d’élevage privée dans la grande banlieue Nord de Bangkok et très vite capturés ou tués – comme un fait sensationnel, au point de laisser croire que la ville est sous le contrôle de ces charmantes bestioles et autres serpents vénéneux. Jurassic Park version thaïe, Spielberg se gausse.
 

Quant aux risques de se faire emporter par un mur d’eau de deux mètres, version tsunami de rivière qui engloutirait Bangkok et ses habitants, là, on frôle le ridicule. Les masses d’eau qui ont noyé les plaines centrales avant de s’accumuler autour de la capitale inondent des quartiers, sans pour autant s'y déverser tel un torrent de boue. La municipalité de Bangkok, aidée par la police et l’armée, ordonne et organise les évacuations des quartiers menacés de façon à laisser le temps aux habitants de partir. Et si vous n’avez pas écouté ou suivi les conseils d’évacuation, vous aurez toujours l’option de faire vos valises où de rester dans votre chambre d’hôtel et de vous faire livrer les plateaux-repas de la Croix Rouge...
 

Il est aussi important de rappeler qu’aucune rue, aucun quartier, aucun village, aucune habitation est coupée du monde ou inaccessible, tout le pays s'étant mobilisé pour porter secours aux sinistrés.
 

Les inondations ont déjà fait plus de 500 victimes à travers le pays.
 

Vrai. Electrocutions, noyages ou manque de soins, le gouvernement publie régulièrement des chiffres sans pour autant donner les causes principales des décès. Les personnes âgées sont particulièrement exposées à de mauvaises conditions sanitaires dans les zones inondées. Mais selon les informations du ministère de la Santé thaïlandais publiées dans la presse locale, ni choléra, ni autre maladie contagieuse ne sont à déplorer.
 

On ne trouve plus d’eau potable ni de nourriture à Bangkok ?

Faux. En aucun cas, et quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouvez, fusse-t-elle la pire, vous ne risquez de mourir de soif ou de ne rien trouver à manger, même dans les quartiers inondés où les secours assurent l‘approvisionnement en eau potable et nourriture pour ceux qui sont restés.

Vrai. Il est difficile de trouver de l’eau en bouteille et certains produits alimentaires, principalement dans les grandes surfaces et les supermarchés, les premiers à avoir été dévalisés par des habitants paniqués.

Si les chaînes de distribution continuent de rencontrer des problèmes d’approvisionnement, de nombreux petits commerçants de Bangkok se sont organisés et vendent des bouteilles d’eau. Sans compter les dizaines de milliers de restaurants, échoppes et bars de la capitale qui proposent de l’eau en bouteille à leurs clients. Dans le pire des cas, vous pourrez toujours compter sur une marque française qui ne trouve pas preneur en raison de prix bien plus élevés que l’eau minérale locale.

Ce constat vaut également pour les produits alimentaires. Si certains sont introuvables (chips, nouilles instantanées, produits laitiers...), et si de nombreux produits de première nécessité se font rares, les produits frais comme la viande, les œufs, le pain, le poisson et les légumes n’ont jamais manqué. Et comme pour l’eau minérale française, c’est la viande rouge que l’on trouve le plus facilement, la plus chère, les Thaïlandais mangeant principalement du porc et du poulet.
 

Près de la moitié de Bangkok est inondée ?

Oui. Environ 40% des arrondissements de la capitale sont touchés par les inondations. Ce qui ne veut pas dire que toutes les rues et avenues de chaque quartier sont concernées et encore moins sont sous deux mètres d’eau. Le niveau peut atteindre un mètre à certains endroits et trente centimètres à d’autres, permettant le passage des véhicules. Quant aux embarcations, elles servent principalement à transporter les habitants qui traversent les zones inondées pour se rendre chez eux. Pour information, les autorités estiment qu’environ un million de Bangkokois sont concernés, pour une population de 12 millions d’habitants.
 

Le centre-ville est-il menacé ?
 

Oui. Il n’y a pas de buttes Chaumont ou de Montmartre à Bangkok, aucun quartier de la capitale ne se trouvant à l’abri. Mais le cœur de la ville, qui représente une très importante superficie et loge des millions d’habitants, est le mieux protégé. Regroupant en même temps le centre des affaires, le cœur touristique, historique, commercial et résidentiel, le port, les plus importants marchés de grossistes et le plus grand bidonville du pays (Klong Toey), il est toujours resté au sec, à l’exception de quelques endroits où l’eau a pénétré, puis s’est retirée rapidement.

Le quartier chinois et le Palais royal (Wat Pra Kheo) sont-ils sous les eaux ?

Non. Ils font partie des lieux touchés pendant les grands coefficients de marée d’il y a dix jours (Bangkok est proche de la mer), lorsque le fleuve Chao Praya, qui serpente sur le côté Sud de la capitale, a débordé par endroits. Mais, depuis, l’eau s’est retirée, et tous les lieux touristiques du quartier historique (Palais royal, Musée national, Dusit Zoo, China Town, Bobae Market, marché aux fleurs, etc) sont ouverts au public. Les deux rives du fleuve où sont situés les grands hôtels comme l’Oriental sont également épargnées, à l’exception de certains quartiers rive droite (Thon Buri).
 

Khao San Road, le quartier des routards, est lui aussi resté au sec. Le marché du week-end (Chatuchak) se trouve dans un quartier partiellement inondé, mais était ouvert au public samedi dernier.

D’autres destinations touristiques sont-elles touchées ?
 

Oui. Même si l’eau s’est retirée d’Ayutthaya, l'accès reste difficile. Cette ville historique fait partie du circuit « classique » qui emmène les touristes vers le Nord, en passant par Lopburi (inondée), Sukhotai, Lampang, Chiang Mai et Chiang Rai. Ces trois dernières destinations, tout comme les deux mille kilomètres de côtes, ne rencontrent pas de problèmes d’inondation.

Sous un grand ciel bleu qui s’est installé depuis une dizaine de jours sur tout le royaume, annonçant le début de la haute saison touristique (de novembre à février), les hôtels enregistrent un taux d’occupation faible pour cette période de l’année. Mais l’impact négatif des images des inondations et du catastrophisme exacerbé par les médias locaux et étrangers, le manque précis d’informations dû à une gestion de la crise par le gouvernement très controversée, ainsi que les recommandations préventives de certains pays de ne pas se rendre en Thaïlande, ont plombé ce début de saison pourtant très prometteur, après une année 2010 marquée par de graves événements politiques.

L’aéroport international de Bangkok fonctionne-t-il normalement ?

Oui. Les autorités aéroportuaires se veulent très rassurantes. Les systèmes de protection de l’aéroport Suvarnabhumi ont été prévus pour prévenir toute inondation. L’accès à la capitale reste normal. Les images des avions piégés par les eaux qui ont tourné en boucles sur toutes les chaînes de télévision étrangères la semaine dernière concernaient l’ancien aéroport international de Bangkok, Don Mueang, qui n’accueille habituellement que quelques vols domestiques, et les appareils montrés n’étaient plus en service.

Peut-on entrer et sortir facilement de Bangkok par la route et le train ?

Oui et non. L’accès à la côte Est (Pattaya, Chonburi, Rayong, Trat) ne pose aucun problème. La route vers le Nord et le Nord-est est plus difficile. L'axe de contournement par Chachoengsao est très encombré, doublant, voire triplant le temps de trajet. Ce matin, les autorités ont annoncé que l’accès vers le Sud du pays (Cha-am, Hua Hin, Surat Thani, Krabi, Phuket…) par Rama II pourrait être inondé dans les jours prochains.

Il est recommandé à tous les voyageurs qui empruntent la route, les bus ou le train de bien se renseigner avant leur départ. Certaines gares routières situées dans des zones inondées ont dû provisoirement être déplacées.

Est-il préférable d’annuler son voyage ?

A moins de subir la politique du « risque zéro » des Tours Opérateurs, ou d’avoir la conviction de « risquer sa vie », ou d’être paralysé par la peur « d’attraper le choléra », ou de ne pas avoir envie de devoir, peut-être, modifier son itinéraire, ou de devoir, peut-être, passer un peu plus de temps dans un train ou un bus, ou de devoir, peut-être, changer d’hôtel à Bangkok, ou de se retrouver, au pire, les pieds dans l’eau, aucune raison, si ce n’est d’ajouter un peu plus au malheur des Thaïlandais, ne paraît suffisante pour annuler un si beau voyage.



Merci à Gavroche Thaïlande pour ces infos. :)


News de Thaïlande ( Mises à jours automatiques ) - par Tony le 24/02/2011 @ 22:25


La Thaïlande prend la tête des pays ou il fait bon vivre... - par Tony le 10/11/2010 @ 12:59

EXPATRIATION – La Thaïlande détrône le Canada
Mercredi 10 novembre 2010

La Thaïlande arrive en tête des pays où il fait bon s’expatrier, selon le classement 2010 de la banque HSBC. Le Canada et Bahreïn complètent le podium. La France obtient la sixième place


L'étude HSBC Expat Experience 2010* porte sur l'installation des expatriés de 100 nationalités différentes dans leur nouveau pays, leur intégration dans la société locale et sur leur qualité de vie sur place. 29 critères ont été pris en compte comme l'école, les finances, le système de santé, la nourriture, la possibilité de voyager dans le pays, de se faire des amis, de s'adapter à la culture locale….

bangkok.jpgVue de Bangkok


Cette année, la Thaïlande grimpe sur la première marche du podium (premier pays pour la qualité de vie, 3e pour l'installation et 4e pour l'intégration). Pour la qualité de vie, les pays mis à l'honneur sont aussi Bahreïn (2e), l'Afrique du Sud (3e) et le Canada (4e).
81% des expatriés pensent que le principal bénéfice d'une expatriation consiste à élargir ses horizons et à acquérir de nouvelles expériences. Pour 66% d'entre eux, l'expatriation a permis une amélioration de la qualité de vie.

Gains financiers ou qualité de vie
C'est dans les pays BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) que l'expatriation est la plus difficile. Les expatriés estiment qu'y vivre est un challenge, particulièrement en ce qui concerne le système de santé et les déplacements. L'Inde est la dernière des 25 pays cités, juste devant la Fédération de Russie et l'Arabie Saoudite. L’Arabie Saoudite, le Qatar et la Russie étaient pourtant plébiscités par les expatriés pour donner un coup d’accélérateur à leur carrière et à leur fiche de paie (voir notre article : Vous voulez faire fortune ? partez à Moscou !). D'ailleurs 57% des personnes interrogées expliquent avoir quitté leur pays en raison d’une opportunité professionnelle et d’une augmentation de leur pouvoir d’achat, deux raisons qui "vont rarement de pair avec une meilleure qualité de vie", précise l’étude. Seuls Bahreïn et les Bermudes arrivent cependant à concilier gains financiers et qualité de vie et sont très bien classés sur les deux tableaux.

Et la France ?
La France se classe au 6e rang de cette étude. C'est le pays que les seniors retirés de la vie professionnelle choisissent en priorité pour couler des jours heureux (21% des expatriés qui s'installent en France le font spécifiquement pour leur retraite). Notre pays est mis en avant pour l'intégration (2e sur 25). Les étrangers y apprécient particulièrement notre nourriture et notre culture. En revanche, il n'est pas si facile de s'y installer. Beaucoup d'expatriés pointent du doigt les barrières auxquelles ils se heurtent en arrivant sur le territoire : 11e rang sur 25 pour les facilités d'installation, 18e rang pour obtenir une couverture de soins mais aussi 15eme rang pour les difficultés à s'habituer à la culture du travail en France.

Source: lepetitjournal.com / Écrit par Marie Pierre Parlange

*Etude réalisée du 26 avril au 7 juin 2010 auprès de 4.127 expatriés de 100 pays différents.
Vous pouvez télécharger le rapport complet dans la section téléchargement. ( en anglais ).expatexperienceresults2010.
 


Préférences

Se reconnecter
---

Votre nom (ou pseudo) :

Votre code secret


 Nombre de membres 9 membres


Connectés :

( personne )
Pub
Pub
Sondage
Aimez vous le nouveau look du site
 
Non
Bof...
Sympa
Terrible...
Résultats
Devinette

Je peux lire dans vos pensées. Vous n'y croyez pas ? Essayez ! Vous n'en reviendrez pas...

HT_468x60
W3C CSS Skins Papinou © 2007 - Licence Creative Commons
^ Haut ^